Summary: Field data are required for observational characterization of climate processes, but remain challenging to collect in wide, extreme and remote environments. Alternatively, climate models provide continuous, high-resolution gridded estimates of individual climate components over large areas. Detailed modeling may thus provide physical insights into the relevance and climatological significance of specific processes, but model results are dependent on acquisition of field data for assessment of their plausibility. Here we combine field observations and model results into a synergistic approach to study drifting snow, a quite undocumented, yet currently widespread climate feature of Antarctica.

About the speaker: Après une thèse sur l’observation et la modélisation des interactions rugosité-érosion en Antarctique à l’IGE (2012-2016), CA a contribué au développement du transport de neige par le vent dans le modèle régional MAR et à sa mise en oeuvre sur l’Antarctique à l’Université de Liège (2016-2020). Depuis l’automne 2020, il travaille de nouveau à l’IGE sur des projections du bilan de masse de surface Antarctique pour la fin du siècle. Ses recherches portent principalement sur les interactions atmosphère-surface en milieu Antarctique et se situent à l’interface entre l’observation et la modélisation. Ses projets de recherche futurs s’inscrivent dans le développement du manteau neigeux dans les modèles de climat en région polaire avec une attention particulière pour l’hydrologie de surface glaciaire.