
Bonne lecture ..
Un mathématicien du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et ses co-auteurs pointent la médiocrité des données disponibles et la sensibilité intrinsèque des modèles épidémiologiques à ces données. Selon eux, impossible de produire des prédictions du nombre de contaminations sans une compréhension approfondie des non-linéarités qui sous-tendent la dynamique d’un « système complexe » tel qu’une épidémie…