Nouveaux arrivants dans l’équipe GEOTRAC

Nouveaux arrivants dans l’équipe GEOTRAC

En cette rentrée 2025, de nombreux collègues ont rejoint l’équipe GEOTRAC.

Maela Baldan, Anaïs Correia, Gervaise Bar, Abdé-Samaad Djebbour, Meiirzhan Abdrakhmanov, Soleine Riausset, Camille Asselin, Orian Pioggini

Maela Baldan réalise actuellement sa thèse à l’université de Padoue (Italie). Elle collabore avec Jérémy Jacob pendant trois mois pour analyser le contenu moléculaire d’échantillons provenant de sites archéologiques italiens.

Anaïs Coreia est en contrat de technicienne pour un an. Elle apporte une aide technique précieuse à la préparation des échantillons en amont de leur datation par ECHoMICADAS.

Gervaise Bar entame une thèse sous la direction d’Eric Douville.

Abdé-Samaad Djebbour entame une thèse dans le cadre du projet ERC AGROCHRONO sous la direction d’Emmanuelle Casanova et de Gwenaël Hervé.

Meiirzhan Abdrakhmanov est doctorant à l’université de Vilnius dans le cadre de l’ERC MILWAYS (dir. Giedre Motuzaite-Keen). Après une première visite en 2024 durant laquelle Meiirzhan a quantifié la miliacine dans diverses archives paléoenvironnementales, il est dans notre équipe pendant 6 mois pour réaliser des mesures d’isotopes de l’hydrogène sur des biomarqueurs moléculaires. Il collabore avec Jérémy Jacob.

Soleine Riausset est engagée pour 2 ans et 8 mois comme assistante ingénieure dans le cadre du projet ERC AGROCHRONO porté par Emmanuelle Casanova. Elle travaillera principalement sur la préparation et les analyses des échantillons par le 14C et la géochimie organique moléculaire et isotopique

Après avoir brillamment soutenu sa thèse en juin 2025, Camille Asselin est recrutée en postdoc jusqu’en décembre 2025 dans le cadre du projet ANR EGOUT pour participer à l’organisation et à la valorisation des données produites ainsi qu’à l’action de recherche participative dans le 20e.

Orian Pioggini est recruté jusqu’en décembre 2025 en tant qu’ingénieur d’études en géochimie organique dans le cadre du projet ANR EGOUT pour aider à mettre en place l’action de recherche participative dans le 20e et réaliser une partie des mesures de traceurs dans les eaux usées.

Inga Labuhn est enseignante-chercheure contractuelle à l’Université de Versailles et au LSCE pour un an.