
En s’appuyant sur l’analyse de la composition isotopique de l’oxygène piégé dans la glace en Antarctique, une collaboration impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) éclaire d’un jour nouveau une transition glaciaire-interglaciaire remarquable. La biosphère y a été plus active de 10 à 30 % qu’au cours de l’ère pré-industrielle, ce qui expliquerait la modération de la teneur en CO2 atmosphérique observée au cours de l’interglaciaire exceptionnellement long qui a suivi.
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